Ouidah et le village de pêcheurs

Mercredi 25 novembre, de retour sur la route, nous nous dirigions vers Ouidah et sa Porte de Non-Retour, dont le but était de visiter le village des pêcheurs …

… afin de « sourcer » du poisson frais comme la langouste, la daurade, le bar, le barracuda, la carpe…

Paysage idyllique et chaotique, nous sommes au bout du monde. Des plages de sables ponctuées de palmiers et de huttes faites de bois et de métal. Nous sommes loin de la culture occidentale, de la vie moderne, nous sommes dans une nature sauvage mais avec une abondance de déchets.

Plage jonchée de déchets

Renaud et moi laissions Carole s’approcher d’un village d’autochtones. Montrer notre visage de Blanc les aurait braqués dans leurs paroles. Quelque temps après, nous voyions Carole, enthousiaste. Elle nous explique plus en détail comment le sourcing de poissons frais pourrait aboutir. C’est le début d’une longue aventure pour l’ONG car le village de pêche de Ouidah serait une solution plus proche et moins coûteuse que le port de Cotonou.

Pêche Ouidah
Commerce plage Ouidah

Sur le chemin qui longe ces étendues de plages désertées, quelques commerçants exposaient leurs créations locales : sacs en cuir, objets et arts de la table en bambou, nous en profitons pour prospecter.

Sur la route du retour, Renaud me propose de visiter le Temple des Pythons. Aventurière comme je suis, je prends le risque d’avoir deux pythons sur moi, j’ai adoré ce moment.

Temple pythons
Pythons Ouidah

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